Administration

MAXIME GOHIER, historien Ph.D. Président, co-fondateur

Spécialiste en histoire politique autochtone des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles, Maxime Gohier est professeur à l’Université du Québec à Rimouski. Il est l’auteur de l’ouvrage Onontio le médiateur: la gestion des conflits franco-amérindiens en Nouvelle-France, 1603-1717, publié chez Septentrion en 2008 et récipiendaire du prix Michel Brunet de l’Institut d’histoire de l’Amérique française. Sa thèse de doctorat porte sur la pratique pétitionnaire des Amérindiens de la vallée du Saint-Laurent sous le Régime britannique.

SIGFRID TREMBLAY, historien M.A. Directeur-général, co-fondateur

Détenteur d’une maîtrise en histoire, Sigfrid Tremblay possède une quinzaine d’années d’expérience en recherche contractuelle. Il a planifié, dirigé et réalisé de nombreux projets de recherche sur des sujets qui couvrent les débuts de la colonisation française en Amérique jusqu’à l’époque contemporaine. Il assure la direction générale de Mémoria Historiens en plus de participer à la préparation de plusieurs rapports, comme auteur ou coordonnateur de projet. Ses spécialisations en recherche touchent au commerce des fourrures, à l’occupation territoriale et, de façon plus générale, à l’histoire socioéconomique des populations algonquiennes de l’est canadien.

JEAN-PHILIPPE BERNARD, historien candidat au doctorat.

Candidat au doctorat en histoire (UQAM), Jean-Philippe Bernard se spécialise dans l’aménagement du territoire et des ressources naturelles aux XIXe-XXe siècles. Sa thèse de doctorat porte sur les programmes de retour à la terre durant la Grande dépression des années 1930 et leurs retombées sur les Autochtones du Québec, notamment les communautés algonquiennes du Moyen-Nord. Il travaille avec l’équipe de Mémoria Historiens depuis 2016, participant aux recherches en archives, à l’analyse documentaire, de même qu’à la coordination et la rédaction de rapports pour des revendications particulières. Parmi ses intérêts de recherche, on trouve la question des politiques sociales, de l’exploitation forestière sur les réserves, de l’occupation territoriale et des politiques de conservation des animaux à fourrures.